Un making of, anglicisme parfois traduit en revue de tournage, est un film documentaire relatant le tournage d'un film.
À l'origine, les making of étaient réalisés de manière quasi-amateur à partir d'images captées çà et là par l'équipe du film ou par des équipes de télévision en reportage sur le tournage du film. Avec l'avènement du laserdisc dans les années 1980 puis avec le succès du DVD vidéo dans les années 2000, le making of devint le supplément obligatoire du film. Les producteurs de films accordèrent alors un budget aux making of et planifièrent leur réalisation en parallèle à celle du film.
Avant l'avènement de ce bonus obligatoire sur les DVD, on doit la reconnaissance de ce format à Michael Jackson et John Landis qui ont tourné le premier making of grand public de l'histoire sur le tournage de la vidéo Thriller. Les films à effets spéciaux ont ensuite emboîté le pas à ce clip pour révéler des secrets de fabrication.
Parmi les réalisateurs spécialisés dans le making of, on peut citer le Français Laurent Bouzereau, spécialisé dans l'œuvre de Brian de Palma et de Steven Spielberg, David Dessites, le spécialiste français, Vincent Dragusseau[2] qui a signé les images de nombreux films produits par Luc Besson, François Breniaux qui a officié pour quelques grands réalisateurs français, ou encore Julien Lecat le spécialiste des films de Jean-Pierre Jeunet, et Cédric Brelet von Sydow qui travaille aussi bien en Europe qu'aux États-Unis.
Un making of transcende les règles du genre quand le film dont il relate le tournage tourne à la catastrophe. C'est le cas de Lost in La Mancha de Keith Fulton et Louis Pepe sur le tournage du film de Terry Gilliam, L'Homme qui tua Don Quichotte.
En dépit d'une absence de statut reconnu par le CNC, des opérateurs de prise de vues ou cadreur se spécialisent dans la réalisation de making of. Ce document est parfois très pédagogique mais il est souvent souvent utilisé comme outil promotionnel, ce qui nuit à son image et au ton singulier de certaines œuvres.
À l'origine, les making of étaient réalisés de manière quasi-amateur à partir d'images captées çà et là par l'équipe du film ou par des équipes de télévision en reportage sur le tournage du film. Avec l'avènement du laserdisc dans les années 1980 puis avec le succès du DVD vidéo dans les années 2000, le making of devint le supplément obligatoire du film. Les producteurs de films accordèrent alors un budget aux making of et planifièrent leur réalisation en parallèle à celle du film.
Avant l'avènement de ce bonus obligatoire sur les DVD, on doit la reconnaissance de ce format à Michael Jackson et John Landis qui ont tourné le premier making of grand public de l'histoire sur le tournage de la vidéo Thriller. Les films à effets spéciaux ont ensuite emboîté le pas à ce clip pour révéler des secrets de fabrication.
Parmi les réalisateurs spécialisés dans le making of, on peut citer le Français Laurent Bouzereau, spécialisé dans l'œuvre de Brian de Palma et de Steven Spielberg, David Dessites, le spécialiste français, Vincent Dragusseau[2] qui a signé les images de nombreux films produits par Luc Besson, François Breniaux qui a officié pour quelques grands réalisateurs français, ou encore Julien Lecat le spécialiste des films de Jean-Pierre Jeunet, et Cédric Brelet von Sydow qui travaille aussi bien en Europe qu'aux États-Unis.
Un making of transcende les règles du genre quand le film dont il relate le tournage tourne à la catastrophe. C'est le cas de Lost in La Mancha de Keith Fulton et Louis Pepe sur le tournage du film de Terry Gilliam, L'Homme qui tua Don Quichotte.
En dépit d'une absence de statut reconnu par le CNC, des opérateurs de prise de vues ou cadreur se spécialisent dans la réalisation de making of. Ce document est parfois très pédagogique mais il est souvent souvent utilisé comme outil promotionnel, ce qui nuit à son image et au ton singulier de certaines œuvres.
Le festival du making of, organisé par l'association MakingOf41, a lieu tous les ans en septembre depuis 2003 à Romorantin. Il présente des making of de films amateurs et professionnels.
